S’il est maintenant acquis que nos sociétés devront s’adapter aux conséquences de nos modes de production et de consommation passés, il est de la responsabilité de tous, citoyens, entreprises, décideurs publics, société civile d’infléchir les tendances.

 

Agir pour une société plus sobre, favorable à la préservation des ressources et des espaces naturels, qui évite les impacts sanitaires et bénéficie à l’économie locale.

 

Des pistes d’intervention :

• Massifier les bonnes solutions : identifier et reproduire les solutions à fort impact. La politique des petits pas ou du saupoudrage ne suffit pas

• Agir : passer à l’action avec des solutions orientées acteurs et territoires, et ne pas se contenter d’incantations ou de théories 

• Innover  pour changer : parce-que les solutions d'hier ne peuvent pas donner des résultats différents 

• Coopérer : créer les synergies et les collaborations. Faire avec, et pour les autres. Ce sont les acteurs des territoires qui font la dynamique et qui créent l’énergie nécessaire pour construire et déployer des solutions

• Former et informer nos décideurs : c’est en acculturant, en partageant, en motivant, que l’on crée les conditions de décisions efficientes

• Ouvrir le champ d’action : l’économie circulaire n’est pas qu’une question de déchets : il faut ouvrir l’action à tous les champs, de la production des biens et des services à la consommation, en passant par la distribution ; et aborder la question des déchets dans une approche systémique intégrant les liens avec l’énergie, la biodiversité, la santé, le cadre de vie